J'imagine un rendez-vous avec une amie de l'annee scolaire passee. Une ex-colocatrice, qui on s'appelle Keri.
Souvent, trop souvent, Keri et moi buvons l'alcool, trop bcp d'alcool.
Nous buvons et fumons et parlons de toutes les choses sous la ciel. Nous avons eu bcp des conversations interessantes, entre le lumiere reflechissaient dans le vin blanc et les fils soie de fume de cigarettes. Et quelque fois, elle me manques.
J'imagine les preparations pour un nuit de souvenissance. J'acheterais du vodka, une boteille du vin blanc--l'appellation terrible de Cotes d'Aix-en-Provence, comme nous buvons toujours chez Cezanne. Sur la route chez elle, j'arreterais au tobac. En Californie, la clerc me regarderais comme une criminelle pour acheter des cigarettes, et j'acheterais des cigarettes regulieres et du menthe et du cloves (pour bonne degustation). Comme la clerc me recanerait, je voudrais dire "C'est ma vie, pas la de toi." lui payer et partir pour continuer ma journee.
Quand j'arriverais chez mon amie, tous seraient comme d'habitude en France et sera magnifique--comme temps soi-meme soit arreter dans sa marche eternelle.
Mais, je me souviens que ma chere amie n'etait pas une amie tres, tres bien; elle n'est pas une vrais amie. L'amitage existait parce que la situation c'etait comme une vrais guerre sur la psycologie et c'etait necessaire pour la survivre a former des alliances. En dehors de la France, on n'a pas la necessite de l'autre; donc, on n'a pas l'autre. C'est a cause de la qu'elle ne me contactait depuis notre revienne aux Etats-Unis.
Mais, c'est normale, donc, ce n'est pas grave. ;-)
Et j'ai, toujours, mes souvenissances.
Souvent, trop souvent, Keri et moi buvons l'alcool, trop bcp d'alcool.
Nous buvons et fumons et parlons de toutes les choses sous la ciel. Nous avons eu bcp des conversations interessantes, entre le lumiere reflechissaient dans le vin blanc et les fils soie de fume de cigarettes. Et quelque fois, elle me manques.
J'imagine les preparations pour un nuit de souvenissance. J'acheterais du vodka, une boteille du vin blanc--l'appellation terrible de Cotes d'Aix-en-Provence, comme nous buvons toujours chez Cezanne. Sur la route chez elle, j'arreterais au tobac. En Californie, la clerc me regarderais comme une criminelle pour acheter des cigarettes, et j'acheterais des cigarettes regulieres et du menthe et du cloves (pour bonne degustation). Comme la clerc me recanerait, je voudrais dire "C'est ma vie, pas la de toi." lui payer et partir pour continuer ma journee.
Quand j'arriverais chez mon amie, tous seraient comme d'habitude en France et sera magnifique--comme temps soi-meme soit arreter dans sa marche eternelle.
Mais, je me souviens que ma chere amie n'etait pas une amie tres, tres bien; elle n'est pas une vrais amie. L'amitage existait parce que la situation c'etait comme une vrais guerre sur la psycologie et c'etait necessaire pour la survivre a former des alliances. En dehors de la France, on n'a pas la necessite de l'autre; donc, on n'a pas l'autre. C'est a cause de la qu'elle ne me contactait depuis notre revienne aux Etats-Unis.
Mais, c'est normale, donc, ce n'est pas grave. ;-)
Et j'ai, toujours, mes souvenissances.